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Une flamme ardente, l’âme juive

Relever le défi de l'holocauste

Auteur : Rabbanite Esther Jungreis

Édition : 'Hinoukh

Poids 0.46 kg
Dimensions 15 × 22 cm

280 pages

100.00

Description

Editions Hinoukh vous present le nouveau best seller, le livre de la Rabbanite Esther Jungreis, « Une flamme ardente, l’âme juive »

EN SE FONDANT SUR LA SAGESSE INTEMPORELLE DE LA TORAH, LA RABBANITE ESTHER JUNGREIS NOUS LIVRE LES SECRETS ESSENTIELS POUR TISSER DES RELATIONS FAMILIALES HARMONIEUSES ET SOURCE DE BONHEUR. UN GUIDE DU SAVOIR-ÊTRE JUIF.

L’un des plus beaux livres jamais écrits sur ce que signifie être juif, à travers tous les temps, tous les bonheurs ou toutes les épreuves, toutes les victoires ou tous les brasiers. Pour la première fois, une rescapée, une héroïne, raconte les camps de concentration et nous rapproche de D.ieu, si présent à chaque instant. Elle transperce nos coeurs pour nous donner la flamme, la fierté d’être le peuple dépositaire de la Loi et de la compassion. Pour la première fois, son récit n’est pas un cri de désespoir et d’incompréhension, mais le chant d’allégresse d’être le peuple de D.ieu.

Rescapée du camp de concentration de Bergen-Belsen, la Rabbanite Esther Jungreis consacre son existence à venir en aide à tous ceux qui en ont besoin, en diffusant le message éternel de la Torah par son association Hinéni (« Me voici ! »). Elle donne des conférences aux quatre coins du globe, publie une chronique hebdomadaire, anime une émission de télévision et un site internet. Auteur de quatre best-sellers, elle est l’amie et la confidente des grands de ce monde.

« Je me souviens de notre propre déportation vers Bergen-Belsen. On nous fit sortir des wagons à bestiaux, on nous rasa la tête et on nous poussa dans des salles de douches. Je gardais les yeux fixés au sol : je ne pouvais me résigner à regarder. Je ne pouvais supporter de voir ma mère si belle, si chère, que j’aimais et que je respectais tant, être privée de sa dignité. Je me souviens avoir eu l’impression que ma vie arrivait à son terme. Puis, quelque chose d’étrange arriva. Tandis que je m’habillais, je mis la main dans la poche et y découvris un morceau de papier froissé. Je le pris et le dépliai. Sans que je m’en sois rendu compte, mon père l’avait glissé là. Sur ce papier était inscrit le Chéma Israël. Ce n’était qu’un morceau de papier arraché et froissé, mais il m’indiquait que je n’étais pas seule, que D.ieu était là. Lentement, je relevais les yeux. »

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