Loading...

Tu raconteras – Béréchit

Enseignements, morales, histoires et paraboles - Rav Yaacov Galinsky

Édition : AED

Série : Tu raconteras

Poids 1.479 kg
Dimensions 17 × 25 cm

770 pages

120.00

Description

«Où avez-vous appris l’art de faire des discours? » demandai-je à Rav Yaacov
Galinsky, qui constitue un mélange extraordinaire des « Magguidim»
d’autrefois et des Maîtres du moussar. Il raconta que dans les yechivot
Novhardok, il y avait une « Bourse » quotidienne d’une heure pendant laquelle
chaque élève devait présenter sa « marchandise », exprimer ses pensées et ses
idées. C’est ainsi que ses capacités se sont révélées, que ses sources
d’enseignement se sont répandues.
Je lui ai ensuite demandé quel était le secret d’une dracha réussie. « Tout est
écrit » me répondit-il en souriant. C’est l’un de ses principes : tout figure dans
les paroles de nos Sages. Il m’a montré le Midrache Chir Hachirim Rabba (4.23)
sur le verset : « Tes lèvres, ô fiancée, répandent la douceur (nofèt) du miel. Le
miel et le lait coulent sous ta langue » (Chir Hachirim 4.11).
«Quiconque dit en public des paroles de Torah qui ne sont pas agréables
comme la semoule restant dans le tamis (napa, même racine que nofèt), aurait
mieux fait de ne pas les dire ». La semoule est bonne et rassasie! C’est la
première condition d’une dracha : qu’il y ait un contenu, que le public sorte
rempli d’une leçon et d’un conseil. Poursuivons:
« Quiconque dit en public des paroles de Torah qui ne sont pas agréables
comme le miel, aurait mieux fait de ne pas les dire ». Le charme. Parler en
souriant, ajouter des plaisanteries et des histoires. Poursuivons :
« Quiconque dit en public des paroles de Torah qui ne sont pas agréables
comme le miel et le lait mélangés, aurait mieux fait de ne pas les dire ». Le miel,
on en mange une petite cuillère, pas plus. Le lait sucré, on en boit une grande
quantité car il est sucré du début à la fin, en juste mesure. Poursuivons :
« Quiconque dit en public des paroles de Torah qui ne sont pas appréciées par
les auditeurs comme une fiancée qui est appréciée par son mari sous la’houpa,
aurait mieux fait de ne pas les dire ». La fiancée est adaptée à son mari : il
l’apprécie car elle le complète. De même, une dracha doit être adaptée à
l’auditoire et proposer des moyens d’atteindre une plus grande perfection !
Tel est le secret des discours de Rav Yaacov Galinsky et celui de la réussite de la
série de ses livres « Tu raconteras ».

Livres du même thème

image-02-08-23-07-19-2
La délivrance du peuple juif à l'époque de Mordekhaï et Esther - Compilation de sources talmudiques et Midrachiques

130.00

gallia
Genèse et Exode

120.00

ESTHER-COLBO

145.00

Aller au contenu principal