La cuisine juive

384 pages que l’auteur dédie à son grand-père et à sa fille, se posant délicatement en maillon de transmission entre générations, entre passé et futur.

Un livre de « recettes qu’il ne faut surtout pas oublier, car les oublier serait en quelque sorte oublier notre histoire. ». Pour ne pas oublier. Un livre d’histoire et de survie comme le qualifie joliment Amanda Sthers dans la préface.

Le livre s’ouvre et se ferme sur des photos de rues et de marchés, des photos d’hommes de tradition et de femmes anonymes, des photos sans âge qui figent le temps et les sourires.

Avec une générosité naturelle, Annabelle clôture son livre par deux pages de remerciements sincères à ses amours proches et lointains qui ont suivi, soutenu, encouragé ses voyages et ses recherches, rassuré ses doutes et porté son devoir de transmission.

Un livre de cuisine, mais pas que, un livre de voyage et de culture qui démontre combien la cuisine juive joue un rôle dans la transmission du judaïsme.